ecology

Mon métier pollue. Énormément.

Un projet qui m'a fait sortir la tête du sable.

April 23, 2025
#popularization#ecodesign

This post was originally created for LinkedIn, hence the format.

Malgré ma profonde transition écologique, j’ai toujours eu un regard biaisé sur l’impact environnemental du secteur de la tech. Après-tout, le secteur informatique ne représente que 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.

Et jusqu’à récemment, les géants du cloud se gargarisaient d’utiliser 100% d’énergie renouvelable (leur discours est plus modéré aujourd’hui).

Je ne voulais pas « voir » :

  • les 6800 TWh d’énergie primaire consommés par an ;
  • les 22 millions tonnes de matières premières extraites par an ;
  • les 7,8 millions m3 d’eau douce pompés par an ;
  • et les 57 millions tonnes de déchets électroniques générés par an.

Alors quand Nicolas m’a proposé d’écrire un cours sur l’éco-conception logicielle pour Code-Garage, ça a été le déclic pour challenger mon avis sur le sujet.

Le but ? Vulgariser l’éco-conception pour les développeurs, en se basant sur la littérature scientifique et en proposant des conseils d’application concrets :

  • 📊 L’Analyse du Cycle de Vie d’un service numérique comme point de départ : fabrication, usage ou fin de vie, quelle étape pollue le plus ?

  • 💡 4 principes transversaux pour réduire l’impact global.

  • 🛠️ Des conseils pratiques pour les appliquer sur toute sa stack technique.

  • ⚖️ Une revue des référentiels, normes et labels existants.

J’ai bien plus creusé la question que je ne le pensais ! Et le plus important : j’ai ancré quelques réflexes dans mon quotidien d’ingénieur.

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Malgré l’arrêt de ma startup greentech, j’ai toujours besoin d’agir pour la transition écologique. À l’heure de la folie du « vibe-coding », j’espère qu’il s’agit du premier d’une série de projets réfléchis, sobres et à impact 🌱

Sources